Demi Moore et Scout Willis
Le week-end est l’occasion de faire une petite compilation des informations glanées durant la semaine sur Internet. C’est parti avec des news ayant plus ou moins un rapport avec la bière et le whisky, plus ou moins sérieuses, parfois insolites.
Delhaize contraint « d’offrir » 3.000 bouteilles de bière: La chaîne de supermarchés Delhaize va devoir se passer de la recette de 3.000 bouteilles de Grimbergen (75cl) après une une offre promotionnelle erronée parue sur son site de vente en ligne. (RTL.be)
La VDM People : “Tout ça pour une bière”:Aujourd’hui, alors que ma mère a déjà assez de problèmes comme ça depuis sa séparation avec Ashton Kutcher, j’en rajoute une couche en passant la nuit au poste de police. Mon tort ? J’ai bu une bière dans le métro, ce qui est interdit par la loi. (Première)
De la bière et des femmes pour les Allemands: Chaque sélection a sa propre stratégie. Certains préfèrent cloisonner les joueurs, d’autres les encouragent à être proche du public et enfin il y a le choix de Joachim Low. Réputé pour être strict, le sélectionneur allemand a décidé de faire confiance à son effectif durant le championnat d’Euro 2012. (Foot01)
Une marque de bière furieuse de voir son nom associé à Magnotta: Le brasseur canadien Labatt a vivement protesté auprès de nos confrères de « The Gazette » après que le quotidien anglophone de Montréal diffuse une photo du dépeceur présumé Luka Rocco Magnotta une bouteille de bière de la marque à la main. Malheureusement pour l’entreprise, ce geste s’est finalement retourné contre elle. (7sur7)
Au temps où Blois avait une brasserie locale: En ville, jusque dans les années soixante, la distribution de bière provenait de fabrication locale. La fille des patrons de la Brasserie blésoise se souvient. (La Nouvelle République)
Le whisky, un business en pleine expansion: Diageo, le géant des spiritueux, a annoncé ce jeudi 7 juin qu’il allait investir plus d’un milliard d’euros pour augmenter sa production de scotch. La demande mondiale est croissante. (BFM)
Qui paie son pot ?: Il met les gants blancs pour ouvrir le coffret. Il faut bien ça, vu le prix du produit : 15.000 euros. Dans cet emballage de feutre et de cuir, façon étui de chasse, baptisé Ardbeg Double Barrel, huit timbales en argent ciselées par l’argentier de la reine d’Angleterre, un stylo carrossé d’argent, un livre de cave pour noter chacune des sensations gustatives provoquées par le nectar et deux bouteilles, stars parmi les flacons. (Sud-Ouest)
