Le premier pays consommateur de bière au monde est la République tchèque. Avec plus de 181 litres par habitant et par an, loin devant l’Autriche (106 l.), le pays qui inventa la pils s’y connaît fort bien en malts et houblons.

Pour mieux s’en rendre compte il suffira de se rendre le 25 septembre prochain au Centre tchèque de Paris, à l’occasion de la Fête de la bière tchèque.

Cette soirée de dégustation commencera à 18h et se clôturera par un concert à 20h dans la cave voûtée du club de jazz Paris-Prague.

Ce sera l’occasion de rencontrer des maîtres brasseurs tchèques et déguster des marques de bières tchèques de qualité, véritable institution en Tchéquie.

L’événement inédit est co-organisé par le Centre tchèque de Paris, Czech Trade, CzechTourism et la société « Les Bières tchèques ».

L’entrée et l’inscription aux dégustations sont gratuites. Le nombre de places étant limité, il est fortement recommandé de s’inscrire via le formulaire présent sur le site internet de l’événement.

Qualifiée de boisson nationale, la bière est un véritable symbole de la culture tchèque et de son art de vivre. L’histoire brassicole en Bohême remonte au 9ème siècle, où elle fut principalement liée aux monastères.

La première brasserie non-trappiste fut fondée en 1118 et, en 2008, la bière tchèque a obtenu le label européen d’IGP (Indication géographique protégée).

Cette industrie s’appuie surtout sur une abondante production de houblons et de malts de qualité qui assure aujourd’hui le fonctionnement d’une cinquantaine de brasseries et de plus de 270 micro brasseries.

Plus d’infos sur le site internet de l’événement.

 

MAJ: 

Les organisateurs sont au regret de devoir annuler cet événement prévu le 25 septembre au Centre tchèque de Paris. Ils expliquent aujourd’hui ce choix bien triste mais tout à fait compréhensible:

« Le caractère convivial de l’événement n’est malheureusement pas compatible avec les nouvelles restrictions d’accueil du public entrées en vigueur dans le cadre de la lutte contre la progession de la Covid-19. Ne voulant aucunement mettre en danger la santé de notre public ; ni esquinter l’événement, nous avons jugé plus prudent de reporter l’événement à 2021 ».