Cette année , la célèbre marque de blended scotch whisky au « trois singes », n’a pas lésiné sur les nouveautés !

A commencer par The Smokey Monkey. Même si cette référence a vu le jour il y a déjà quelques années, en France elle était principalement réservée aux professionnels du bar et à quelques grandes surfaces aux chefs de rayon spiritueux malin (comme des singes…).

Pour The Smokey la recette, titrant 40% d’alc./vol est conçue en assemblant deux single malts du Speyside – ce qui est fort classique – et d’un single malt tourbé des Lowlands – ce qui est plus rare.

Côté dégustation on retrouve le côté rond et gourmand du Monkey classique, avec une petite touche de fumée.
De quoi ajouter ce qu’il faut de fantaisie aux prochaines dégustations des amateurs du célèbre blend, propriété de William Grant & Sons. Comme tout bon Monkey Shoulder qui se respecte The Smokey est disponible en grandes et moyennes surfaces autour de 28 euros.

Dans la foulée la marque a annoncé le lancement d’un nouveau spiritueux titrant également t 40%, The Fresh Monkey. Il ne s’agit pas en effet cette fois de whisky puisque la recette est un assemblage de deux spiritueux de grains et d’un spiritueux de malt du Speyside qui n’ont pas connu de vieillissement, une sorte de « blended new make » en quelque sorte. Environ 30 euros.

William Grant’s & Sons annonce pour ce nouveau produit « des notes de malt classiques, mêlées des notes  » tropicales et herbacées  » dignes d’un rhum agricole. Une recette particulièrement destinée à la mixologie et donc aux bartenders.

C’est notamment pour eux que la troisième innovation a vu le jour. Il s’agit du Strainger, une passoire à cocktail nouvelle génération, rétractable, qui vient compléter la collection d’objets de bar développée par la marque aux 3 singes après l’I-Spoon, le Konga Shaker, l’Ice Claw et le Trigger Jigger.

 

The Strainger de Monkey Shoulder