Les 24, 25 et 26 septembre dernier, s’est tenue la 8ème édition du Whisky Live Paris 2011 dans l’enchanteur Hôtel Salomon de Rothschild, d’autant plus que le temps était estival, donc idéal pour aller se ressourcer dans le jardin privatif.
L’occasion de découvrir de nombreuses nouveautés en matière de malts d’Ecosse bien sûr, mais également du monde entier. Irlandais, Japonais, Suédois, Français, Américains, Tasmaniens… étaient présents avec de sympathiques réalisations dont nous citerons par exemple le Ballantine’s 30 ans, le Strathisla 12 ans, le Caol Ila Moch, l’Hudson Manhattan Rye, The Balvenie Tun 1401, l’Armorik Classic, le Bowmore 10 ans, le Nikka Single Cask Miyagikyo 1988, le Nikka Single Cask Yoichi 1991, le Sullivan Coves Double Cask… sur lesquels nous reviendrons très prochainement en fiche dégustation.
L’événement fût bien sûr l’occasion de rencontres instructives avec des experts qu’ils soient master blenders, master distillers, parmi lesquelles nous citerons Barry Crockett master distiller de Midleton, Patrick Maguire directeur de Sullivans Cove, Lynee Tolley la master taster de Jack Daniel’s, etc, fiers et heureux de partager sur leurs whiskies.
Les derniers Collectors de la distillerie The Dalmore furent quant à eux présentés par Richard Paterson himself. Dans une pièce spécialement aménagée, le Master Blender du groupe Whyte & Mackay, nommé meilleur Whisky Ambassadeur de l’année, mettait en scène « The Dalmore Collectors », proposant à la dégustation des whiskies d ‘exception tels le King Alexander III, The Dalmore 1978, l’Astrum, l’Aurora et l’Eos…
Sans oublier la spirithèque, un immense bar composé de six célèbres établissements français a proposé deux incontournables cocktails issus de leur carte. L’Entrée des Artistes, La Conserverie, Grazie, L’Hôtel, Le Prescription ou encore Le Papa Doble. Tandis qu’un septième bar officiait au sein de l’espace VIP, le légendaire et centenaire Harry’s Bar, le plus vieux bar américain de Paris.
Bref de quoi passer un excellent moment à découvrir l’art de la distillation, du vieillissement et de la mixologie pour le whisky bien sûr mais également pour d’autres alcools comme les cognacs & rhums qui ainsi été exposés dans un esprit boudoir et intimiste, alors qu’une calvadothèque et une armagnathèque proposaient plus de 50 années de récolte dans un espace contemporain et permettaient de déguster le millésime de son année de naissance.
Un bon millésime qu’auront pu apprécier près de 5.000 personnes sur les trois jours de manifestation.