Le week-end est l’occasion de faire une petite compilation des informations glanées durant la semaine sur Internet. C’est parti avec des news ayant plus ou moins un rapport avec la bière et le whisky, plus ou moins sérieuses, parfois insolites.
Taxe sur la bière: Chirac appelé au secours: La taxe sur la bière prévue par le gouvernement n’est pas appréciée par les brasseurs, qui ont peur pour leur filière. C’est ainsi que deux députés UMP du Nord opposés à cette taxe ont demandé officiellement le soutien… de Jacques Chirac. (Huffington Post)
Une distillerie de whisky prospère 70 ans après la prohibition: Le bâtiment de l’East River ne paye pas de mine, mais c’est là, dans une ambiance très années 30, que prospère depuis deux ans et demi à Brooklyn la première distillerie de whisky installée à New York depuis la Prohibition, projet un peu fou de deux copains passionnés. (Le Matin)
Avec 30 litres par an, les Français sont de « petits buveurs »: Brunes, blondes ou rousses : si elles représentent une bonne part de l’activité des cafetiers et autres hôtels-restaurants, les bières ne sont pas la boisson préférée des Français, loin s’en faut. Avec « seulement » 30 litres de bière consommés par an, nous serions de « petits buveurs ». Loin derrière les Tchèques et les Allemands. Car dans l’hexagone, c’est le vin qu’on préfère. En tout cas, on en boit quatre fois plus. (Le Télégramme)
Pas de bière de Noël à Lille cette année: Pas de cadeau pour les amateurs de bière à Noël. La mairie de Lille a confirmé, jeudi, qu’elle ne mettrait pas à disposition une salle de la Halle aux Sucres cette année pour le lancement de la bière de Noël. (20 Minutes)
À pays riche… Bière chère !: Si la Norvège détient le record du prix de la pinte, c’est la faute de l’État et de l’Europe qui imposent des taxes très fortes sur les boissons alcoolisées. La TVA ainsi que le droit d’accise (également appelé « contribution indirecte ») sont lourdes au nom de la lutte contre l’alcoolisme. En France, le demi de bière pourrait se payer plus cher, le gouvernement souhaitant augmenter l’une des taxes sur cette boisson alcoolisée, provoquant la colère des patrons de bistrots, qui y voient un nouveau danger pour un secteur déjà fragilisé par la crise. (La Tribune)