Il y avait à l’origine le scotch whisky et l’irish whiskey, puis le Bourbon et depuis moins longtemps le whisky japonais qui ont su imposer des styles propres.

Aujourd’hui la France compte une centaine de distilleries sur le territoire national produisant des jus toujours plus qualitatifs et dont il se dégagerait également une véritable identité.

C’est en tous les cas ce qu’estime la Fédération du Whisky de France (FWF) qui demande la reconnaissance de l’Indication Géographique Whisky de France auprès de l’INAO (Institut National de l’Origine et de la qualité).

Il est vrai que pour pouvoir mettre sur ses étiquettes « whisky français » la FWF exige que tout le process de production, du brassage à la maturation en passant par la distillation se fasse en territoire français. Ce qui correspond un minimum aux exigences de l’institut pour valider une origine géographique.

Ensuite la France est aujourd’hui reconnue comme un pays au grand savoir faire en ce qui concerne la distillation (alcool de fruits, liqueur…) mais aussi le vieillissement sous bois (Armagnac, Calvados, Cognac…).

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le whisky français est aujourd’hui reconnu comme un spiritueux de qualité et fort de ses particularismes comme part exemple le vieillissement en fûts de vin français, mais aussi dans l’utilisation de certains alambics ou bien encore de céréales certifiées en agriculture biologique.

Autant de qualités qui lui valent d’être aujourd’hui bien représenté dans tous les secteurs de la distribution, de la grande distribution au réseau des cavistes comme dans le CHR.