C’est ainsi qu’il a annoncé qu’il allait lancer une OPA hostile contre le brasseur océanien qui a choisit de séparer ses activités brassicoles de ses autres activités agroalimentaires en début d’année.
Le Sud-africain n’a pas changé son fusil d’épaule et propose un prix d’achat autour de 9,5 milliards de dollars australiens (environ 7 milliards d’euros) soit 4,9 dollars australiens (3,5 euros environ) par action.
Cette fois le numéro deux mondial va donc proposer son offre en direct aux actionnaires de l’Australien. Si l’OPA réussissait, le nouveau géant pèserait plus de 22 milliards d’euros de chiffres d’affaires et possèderait un peu plus de 10% du marché mondial de la bière.