Le Guip et des huitres, pour chavirer de plaisir !

Le Guip et des huitres, pour chavirer de plaisir !

Après avoir proposé (D’un) Verre Printanier et Fin de Partie, La maison de whisky Benjamin Kuentz vient de lancer son troisième whisky.

Baptisé Le Guip, du nom du chantier de restauration et de construction de bateaux en bois situé à Brest, c’est un Single Malt qui fleure bon les histoires et les notes marines.

Créé en collaboration avec la distillerie bretonne Armorik, il s’inspire d’une rencontre avec Yann Mauffret, dirigeant du chantier breton, qui s’est accordé avec Benjamin Kuentz sur le fait que concevoir une charpente maritime ou des tonneaux de bois, c’était le même combat.

L’idée est alors venue de concevoir un whisky qui reprendrait les codes de la charpente de marine. Une cuvée spécifique qui évoluerait chaque année, en édition limitée donc. Et une partie des bénéfices des ventes du Guip serait reversée à l’association du chantier.

Donc du bois et de l’atmosphère iodée il y en a dans ce Single Malt. D’abord séducteur, avec une petite note de tourbe au nez, en bouche son attaque est franche, il ne manque pas de puissance, glissant au passage de petites notes salines.

La navigation achevée il faut rentrer au port et les notes tournées du du Single Malt sont comme le retour du marin au foyer, avec les notes chaleureuses de l’âtre qui réchauffe l’air, les 55° du Guip se chargeant du corps et de l’âme…

Nous l’avons dégusté avec des huitres, préparer de différentes belles manières par Yves Camdeborde, c’était à chavirer, de plaisir…

Ce Single Malt Single Cask de 8 ans d’âge tient donc fort bien la route, et sans aucun doute la mer. Disponible en édition ultra limitée à 346 bouteilles il se cède à 75 euros auprès de la Maison Benjamin Kuentz.

On le trouvera aussi dans les restaurants L’Agapé et L’Avant Comptoir de la Mer (Yves Camdeborde) à Paris et à La Maison Pic (Valence). 

Mais aussi dans les Caves de la Tour (Caviste à Brest) ou aux Caves du Panthéon (Paris 5ème).